Après mon 1er marathon à Amsterdam, après avoir dit « plus jamais ça », je me suis lancée dans la quête des 6 majors marathons.

Et si avant le marathon de Tokyo, on se faisait un petit résumé ?

• 2018 : Je franchis la ligne d’arrivée du marathon de Berlin en 3h39 accompagnée par mon chéri et mon amie Mathilde. Un super souvenir, un de mes majors préféré dans une ville que j’affectionne tout particulièrement. Même si les derniers kilomètres ont été durs, RAS sur cette course que j’ai vraiment bien vécu.
• 2019 : Je me blesse 3 semaines avant le marathon de NYC… Fracture de fatigue du calcanéum… Un sacré coup dur, qui révèlera en plus des problème de santé… Mais qui, me permettra de vivre une expérience inoubliable quelques années plus tard…
• 2020 : CO-CO-COVID joie bonheur et confinement…
• 2021 : Je lève la somme de 1800£ pour la Royal Osteoroposis Society, association que je vais représenter pour le marathon de Londres. Je viens juste de découvrir mon hypothyroïdie, je ne suis pas bien prise en charge et pour moi tout s’arrête au km26. BLACK OUT. Je ne me souviens de RIEN du km26 au km42. Et une fois la ligne d’arrivée passée (3h39 again), je n’ai fait que chialer. Ça va les hormones ? mdr…
• 2022 : Je pars seule outre atlantique vivre mon american dream pour le marathon de Chicago. J’explose mon RP de 16min et signe un 3h23 inattendu.
• 2022 BIS : je fais la surprise à mon père… et c’est ensemble qu’un mois plus tard nous partons vivre ce qui reste à ce jour un de mes plus beaux marathons : le marathon de New-York.
• 2023 : Je n’ai pas pu m’inscrire avec mon temps de Chicago pour le marathon de Boston (réalisé trop tard), alors pour ne pas « perdre » une année, je décide de m’inscrire au marathon de Valencia. Un marathon très compliqué mentalement : au bord du burn-out, situation familiale compliquée… Et quand la tête n’y est pas… Nous savons très bien que le corps ne suit pas ! C’est grâce à Bastien que je signe un miraculeux 3h23.
• 2024 : Cette fois c’est good je me qualifie pour Boston ! Alors que la prépa se passe super bien… Je chope un espèce de truc (grippe foudroyante ? Covid long?) qui m’attaque les muscles. Je pars à Boston blessée et termine le marathon en 4h00 sans pouvoir plier les jambes. Je vous jure que si c’était à refaire… NEVER je prendrai le départ tellement j’ai souffert. Boston reste néanmoins un souvenir incroyable pour l’ambiance et pour avoir partagé cette aventure avec mon amie Olivia.