A PROPOS

Behobie San Sebastien

Qui suis-je ?

Je m’appelle Charlotte, j’ai (déjà) 33 ans et je suis un pur produit du Sud-Ouest. Originaire des Landes 4-0 represent’, j’habite désormais du côté de Pau mais je reste très attachée à mes Landes natales.

Côté perso, je travaille dans le domaine de la communication (à la fois salariée et à mon compte)

Côté sportif, on peut dire que je reviens de loin ! Même si petite je me suis essayée à plusieurs disciplines : gymnastique, natation, badminton, tennis… J’ai tout laissé tomber après le bac et durant mes études. J’avais cependant, un très bon niveau en apéros mojitos option shooters de vodka.

Ma crise d’adolescence passée, je me suis remise en selle en m’achetant en 2012 ma première paire de basket.

 

Pourquoi la course à pied ?

J’ai choisi la course à pied parce que j’ai toujours vu mon père courir. Secrètement je me disais que cela serait génial de pouvoir courir à ses côtés, mais entre nous, je ne me faisais guère d’illusions… Et puis, la course à pied c’est facile non ? Une paire de basket et zou ! (Si j’avais su…)

Je me souviens encore de ma première sortie, 4 malheureux tours sur une piste d’athlé où j’ai cru, sans mentir, que j’allais creuver.

Mais têtue comme une mule que je suis, je me suis accrochée ! J’ai participé à ma 1ère course officielle de 6km en 2013, puis 6 mois plus tard j’ai réitéré. Voir ma progression m’a donné des ailes et c’est comme cela que je suis « tombée dedans ».

De 6km, je suis passée à 10km, puis de 10 à 15. Jusqu’au jour où, en 2015, j’ai voulu me tester sur semi-marathon. Mon tout premier semi a été celui de Béhobie San-Sebastien et c’est CETTE course à l’ambiance incroyable qui a révélé en moi un esprit de compétition jusqu’alors insoupçonné…

J’ai enchainé les 21km, à la recherche de nouveaux records et de cette fameuse émotion qui fondre en larmes tout sportif ayant été au bout d’eux même. Mais rien. Oui, j’étais heureuse de m’améliorer à chaque fois, mais il me manquait quelque chose…

Sur un coup de tête je me suis inscrite au marathon d’Amsterdam... Cette expérience a clairement changé ma vie ! Que c’était dur… Mais que c’était beau !

Aujourd’hui mon objectif est de compléter les 6 majors : Berlin, Boston, New-York, Chicago, Tokyo et Londres.

 

Pourquoi le sans gluten ?

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours eu mal au ventre. Tous les jours, tout le temps.

Bien que je fasse attention à mon alimentation, j’avais toujours le ventre gonflé, comme après un repas trop copieux chez mamie et surtout… je n’allais pas au wc ! En moyenne, j’y allais une fois par semaine et parfois, une fois tous les 10 jours. J’enchainais les occlusions intestinales. La première a eu lieu à mes 4 ans et la dernière (la plus forte) à mes 14 ans où je suis restée 3 jours sous morphine sans savoir ce que j’avais.

Pour les médecins, mes intestins étaient fainéants. J’avais donc banni de mon alimentation, le riz, le chocolat, les bananes… Bref, tout ce qui peut constiper. Jusqu’au jour où… J’ai rencontré Loup ! Loup était, à l’époque, le coach sportif de mon chéri. Lorsque je lui ai parlé de mes soucis de « princessequifaitpascaca » il a immédiatement pensé au gluten.

J’ai donc fait un test sur 1 mois, comme ça, pour voir… Et MIRACLE c’était ça ! Au bout de deux semaines, je me sentais bien plus légère, mon ventre était ultra plat, mon transit était au také et je n’avais plus aucune douleur !

3 mois plus tard, j’ai remangé un bout de brioche contenant du gluten. La sanction fut immédiate : crampes horribles, ventre gonflé et retour du trou dbal complétement bouché. J’ai tout tenté : boire de l’eau (gelée), manger des pruneaux (le paquet), me masser le bidon… RIEN y faisait. J’ai fini par aller à la pharmacie demander du « destop » et je me suis dis plus jamais ça !

 

Pourquoi les sœurs Coquillettes ?

J’ai toujours aimé les mots, écrire, parler, rire, raconter des blagues et chanter (faux) sous la douche. J’ai voulu créer ce blog pour raconter dans un même endroit, mes aventures sportives, vous expliquer ce qui se passe dans ma tête lorsque je cours, mais aussi vous partager mes tests et recettes sans gluten.

A la toute base, j’ai démarré le blog avec ma soeur Alexandra d’où « les soeurs » mais son activité de tatouage a carrément explosé, lui laissant bien moins de temps pour le blog. Nous partageons cependant énormément de choses toutes les deux, ne soyez donc pas étonnés si vous la voyez de temps en temps par ici.

« Coquillettes » est une référence à notre nom de famille. Tour à tour, que ce soit au collège ou au lycée, nous avons toutes deux hérité de ce surnom.

Le nom du blog était né.